Nobody is perfect !
Suite à la crise de la vache folle, nous avons mis tous nos espoirs dans le poisson, si diététiquement correct. Du coup, nous lui avons fait une part belle dans nos menus. Cependant, très vite, nous sommes ébranlés en apprenant qu’il est, comme les bovins, nourri de farines animales s’il est d’élevage, qu’il peut être contaminé par des métaux lourds, des bactéries, des parasites et que certaines espèces sont en voie de disparition par une surpêche, s’il est sauvage. Prise de conscience oblige, de nombreux efforts sont alors réalisés. Les labels se développent et garantissent grâce à leur cahier des charges la suppression des farines animales en aquaculture et une pêche raisonnée et durable avec le respect du renouvellement des espèces. Reste cette éventuelle présence des métaux lourds et des micro-organismes à limiter ! Pour cela, l’ANSES émet des recommandations de consommation pour le poisson : 2 fois par semaine dont 1 gras (saumon, sardine, maquereau, hareng, truite fumée) au plus.
Varions nos sources protéiques car manifestement nobody is perfect !